À propos de moi

Qui suis-je ?

Je m’appelle Péline, coach sportive spécialisée dans le Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK).

Je suis également atteinte de SOPK, ce qui fait que je connais parfaitement tes problématiques liées à cette pathologie mais pas que !

Je te connais déjà

En raison de cette pathologie, je suis passé par toutes les erreurs que tu as probablement déjà faites. J’ai pris du poids, j’ai fait des régimes restrictifs, j’ai perdu du poids avant de reprendre le double que j’ai perdu, j’ai pleuré, j’ai rigolé, j’ai détesté mon corps, j’ai détesté cette pathologie…

Mais enfin, aujourd’hui je suis là avec toutes ces expériences, en toute confiance en moi et en mon corps, ma joie et ma très grande envie de te transmettre le goût du mouvement !

Je te comprends 

En tant qu’une femme atteinte de SOPK, je sais très bien qu’il n’est pas facile de perdre du poids. C’est lent et long. Et je sais aussi que c’est incompréhensible pour les personnes qui ne connaissent pas la pathologie, y compris pour les coachs sportifs.

Je sais que tu as déjà été obligée d’expliquer ta situation à milles professionnels différents et tu ne t’es pas sentie comprise. Mais aujourd’hui, on finit avec cela ! Tu es là, en train de lire ce texte. Alors tu sais déjà que tu vas être comprise, entendue et accompagnée quel que soit ta problématique, ton besoin et ton objectif.

Si on récapitule, que tu sois atteinte de SOPK ou non, toutes les femmes ayant vécu un problème de poids, fait des yoyo toute sa vie, je vous comprends et suis là pour vous donner toutes les clés afin de vous amener vers une vie plus sereine avec votre corps grâce à la magie du sport !

Le SOPK et ma vision du sport

Nous ne pouvons pas déduire le SOPK à une question de poids. Il existe pleins d’autres symptômes qui viennent avec cette pathologie. En dehors de la question du poids causée par la résistance à l’insuline, la pilosité, l’anxiété, la chute de cheveux, les troubles du sommeil, l’irrégularité (voire l’absence) des règles, la fertilité, les sauts d’humeur, la thyroïde, la dépression font partie des symptômes.

Il n’existe aucun traitement curatif à ce jour. De ce fait, la prise en charge de SOPK se concentre sur le contrôle des symptômes autrement dit le but principal est de les atténuer pour aider ces femmes à apprendre à vivre avec le SOPK.

Cette prise en charge passe par une hygiène de vie saine donc une alimentation équilibrée et une activité physique régulière.

Autrement dit, ce sont des efforts que nous devons faire à vie donc ce n’est pas un régime X à suivre quelques mois avant d’arrêter tout.

Nous aurons cette pathologie à vie donc nous avons toute une vie devant nous afin d’apprendre à vivre avec !

De ce fait, nous sommes loin des méthodes perfectionnistes qui demandent de calculer chaque gramme de sucre que vous consommez ou chaque pas que vous faites au quotidien !

C’est un apprentissage et c’est un long chemin. En même temps, ça tombe bien parce qu’on avait dit qu’on avait toute une vie devant nous pour apprendre ! C’est génial non ?

Mon parcours qui m’a amené jusqu’ici 

J’ai parcours atypique donc sois prête avant de commencer à lire !

J’ai une licence des Relations Internationales que j’ai obtenue à l’Université Galatasaray à Istanbul (Turquie), un Master 1 en Sciences Politiques obtenu à l’Université Lyon 2 et un CQP en double mention (Cours Collectifs et Musculation Personal Training) obtenu à IPSO Sport à Lyon.

Le moment où je souhaitais faire un doctorat, j’ai même arrêté mon Master 2 et je me suis retournée vers une formation de coach sportif.

Même si j’adore les études, j’ai remarqué que je faisais beaucoup d’effort afin de contrebalancer cette vie sédentaire que les études obligeaient. J’avais toujours mes heures sacrées pour le sport afin de me sentir mieux et gérer le stress. J’avais toujours une alimentation bien différente par rapport aux autres et à ce qui proposée dans les cantines ou restaurants ! Je ne me sentais pas à ma place.

Par ailleurs, j’ai eu une petite fille au cours de l’année de Master 1, ce qui m’a amené encore à un autre monde : le monde de parentalité.

J’ai eu l’occasion d’expérimenter qu’il était très facile de se perdre entre toutes les obligations de la parentalité, du travail et du SOPK ! En même temps, j’ai vu que je m’en sortais plutôt bien grâce à ma vision du sport et de la vie en général.

Alors l’idée est venue ! Pourquoi pas transmettre mes connaissances à toutes les femmes qui vivent les mêmes choses ?

Premièrement, être femme est un lien très fort qui nous unit. Je sais que nous avons beaucoup de problématiques en commun juste parce que nous sommes des femmes !

Deuxièmement, le SOPK ! J’ai considéré cette pathologie comme une malédiction pendant longtemps mais l’heure est venue de changer les choses. Nous sommes une femme sur sept qui vivons plus spécifiquement les mêmes choses. Quoi de plus beau ?

Troisièmement, être maman est une sacrée épreuve pour ne pas s’oublier et continuer à exister en dehors de l’enfant. Je me rappelle toujours ces moments où je culpabilisais d’avoir fait du sport au lieu de s’occuper d’elle. Ça vous parle ? J’en suis sûre.

Voilà tu connais tout maintenant sur moi. Si je t’ai donné envie de faire du sport, c’est par là pour connaître ma méthode en détail :

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